mardi 19 septembre 2017

Alan Moore, Jérusalem : on passe la page 300

Premier faux-pas.
J'avais dit que je ferai un bilan toutes les cent pages mais je me suis laissé prendre par le rythme intense de la vie moderne et me voilà rendu à la page 300.

Une jolie image pour me faire pardonner.

L'auteur en jeune homme.

La structure du texte se confirme. Jérusalem n'est pas un roman fleuve constitué de multiples intrigues entrecroisées mais une suite de nouvelles subtilement reliées par des personnages (la famille Vernall, un moine de retour de Terre sainte), des situations racontées sous différents points de vue et, avant tout, les lieux. mêmes où prennent place les événements : Londres et Northampton.

Les personnages et les situations se mettent en place et tout cela doit bien tendre vers un climax quelconque.

L'exploration se poursuit.

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